La Bundeshandelsschule de Wiener Neustadt rencontre Hans Höller

Hans Höller était un soldat de la Wehrmacht allemande et a pris part aux batailles qui ont suivi le débarquement allié en Normandie en Juin 1944.
Lors de notre rencontre, il nous a parlé de ses expériences liées à la guerre, de la nécessité de maintenir la paix en Europe et nous a encouragé à renforcer nos liens avec nos partenaires français.

Le CFA FIM d'ageaux rencontre Bernard Dargols

Le 23 janvier 2014, les CAP Hôtellerie-Restauration du CFA d'Agneaux rencontre Bernard Dargols aux Invalides à Paris.
La guerre éclate en Europe alors qu'il effectue un stage aux États- Unis. Bernard Dargols choisit alors de s'engager dans l'armée américaine et devient GI « Gouvernment Issued » et citoyen américain. Ce vétéran, hors du commun, raconte son débarquement le 8 juin 1944 sur la plage d'Omaha en Normandie et les missions qu'il effectuera pour les renseignements militaires dans la Deuxième Division d'infanterie américaine.

Interview d'un vétéran canadien au Québec par les élèves de BTS de Deauville

Le 17/11/2013, les élèves de BTS Tourisme de Deauville sont allés outre-Atlantique interviewer M. Elzéar Bouffard, soldat canadien volontaire qui s'engagea en 1941 et débarqua le 10 juillet 1944 en Normandie avec le 4ème régiment d'artillerie de la 2de division. Il participa aux opérations d'encerclement de la région de Falaise qui firent plus de 5000 blessés et morts dans l'armée canadienne, une des plus grosses pertes subies par une armée étrangère alliée. La vallée de l'Orne devint la vallée de la mort pour les Canadiens. Ces souvenirs douloureux avaient été enfouis par le vétéran au plus profond de lui-même et c'est donc une véritable libération de la parole qui s'est produite. Cet acte citoyen et ce devoir de mémoire, nous les avons partagés avec les élèves du cégep de Matane (Québec).

Le lycée Maurois de Deauville rencontre Léon Gautier et Johannes Börner

Le 16 décembre 2013, les élèves du lycée Maurois de Deauville ont pu apprécier la belle complicité qui lie ces deux ennemis d'hier. En juin 1944, Léon Gautier débarque en Normandie au sein du commando Kieffer tandis que Johannes Börner, élevé dans le culte d'Hitler, est fait prisonnier dans la poche de Falaise. Ces deux vétérans sont animés par la même motivation, transmettre leur expérience aux jeunes générations et célébrer la paix.

Le lycée Sauxmarais de Tourlaville rencontre Paul Leterrier

Le 16 janvier 2014, Paul Leterrier raconte sa guerre aux élèves du lycée Sauxmarais de Tourlaville. Refusant la défaite de 1940, il déserte pour rejoindre les Forces françaises libres à Beyrouth et participe à la bataille de Bir-Hakeim. Il débarquera finalement en août 1944 en Provence . Le parcours de ce vétéran hors du commun a fortement impressionné les lycéens.

Le Lycée Le Robillard rencontre Maurice Cousin

Le 13 janvier 2014, les élèves de 1ère S du Lycée Le Robillard (Lieury L'Oudon / Saint-Pierre-sur-Dives) ont rencontré Maurice Cousin, prisonnier de guerre pendant la Seconde Guerre mondiale.

Témoignant pour la première fois, Maurice Cousin a délivré des souvenirs vifs et précis de sa vie de soldat et de prisonnier au Stalag XVII A à Kaisersteinbruch (Autriche).

Né en 1914, mécanicien de profession, il est mobilisé le 2 septembre 1939 au sein du 6ème Groupe de Reconnaissance de Corps d’Armée. Fait prisonnier le 29 mai 1940 lors du repli de l’armée française vers Dunkerque, il sera libéré au mois de juin 1945.
Il a témoigné avec humilité, émotion, mais sans haine de ces 5 années de détention, évoquant le manque de liberté, la faim, les travaux auxquels il était assigné, les drames vécus.
Les élèves, très sensibles aux paroles parfois émues de Maurice Cousin, ont perçu le courage et la force de vie de cet homme marqué par les conflits du XXème siècle (son père a été tué dans la Somme en 1914).

Le lycée Jean Monnet de Mortagne-au-Perche rencontre deux vétérans biélorusses à MINSK

Les 03 et 04 janvier dernier, Coline, Mathilde, ELisa ( 1S ) Arthur et Manon (Ts) accompagnés de Fabrice Voineau professeur ont rencontré à MINSK deux ex-officiers soviétiques, vétérans de la "Grande Guerre Patriotique" ( ou "Nationale") Eh oui, premier constat on n'utilise pas les mêmes mots pour parler des mêmes événements. Le débarquement, la Bataille de Normandie qui ont eu lieu au même moment que la bataille pour la libération de la Biélorussie ( opération Bagration , et Souvarov) se nomment ici " Deuxième front"; on a vite deviné quel était le premier.

Derniers réglages pour tous avant l'arrivée du 1er  vétéran

Ces témoignages ont pu être préparés, recueillis - son et images - grâce au partenariat entretenu par le Lycée depuis 2004 avec une Ecole à enseignement renforcé de Français de Minsk , le Gymnasium 34. Ils ont motivé les vétérans et le cinéaste ; depuis Septembre ils ont élaboré les questionnaires avec les mortagnais. Enfin, sur place ils ont joué les interprètes !

Le colonel Grigory Iakolevitch KONVISSERRE   

L 'émotion de Grigory Konvisserre au début de l'entretien était visible : il parlait pour la première fois à des élèves non biélorusses, et qui plus est, à des français. Né en 1921 ( 92 ans) en Ukraine, à 18ans il choisit une Ecole militaire mécanique et se retrouve lorsque les troupes allemandes ont violé le pacte, dans des unités motorisées. Après les combats à Smolensk, il est envoyé à l'arrière pour une formation d'officier, puis repart au front : Opération Bagration (libération de la Bielorussie, de Minsk , avec l'aide de l'escadrille Normandie). Ensuite, il continue jusqu'à Berlin où son unité libère le camp de prisonniers de Babelsberg où est détenu Edouard HERRIOT (ex président du Conseil français). Il nous a offert ce moment de sa vie comme un cadeau , fier et ému. le 09 mai 1945, il est en Tchécoslovaquie.

Son message ? "Continuez votre échange, venez plus souvent nous voir" ! et apprenez les langues étrangères ! Son grand regret : ne pas avoir pu comprendre un prisonnier allemand qu'il avait mission d'emmener vivant à l'état major, "la route a été longue ,la voiture s'est enlisée dans la boue, on a communiqué avec les mains ! " Général Major Alexandre Fiodorovitch FEGNE

"soyez bienveillants, vous êtes notre avenir, notre espérance"

Alexandre FEGNE ne se destinait pas à la carrière militaire ; en 1941 il a 18 ans, il finit ses études pour être "pédagogue" ! Après une formation militaire d'un an il sort lieutenant de chars, commande 3 blindés et en 42 , son baptême du feu à STALINGRAD. Puis c'est la bataille de chars de KOURSK souvent qualifiée de "plus grande concentration de blindés de la guerre". Enfin été 1944, opération Bagration, libération de la BIELORUSSIE, puis la Pologne où il se trouve le 09 Mai 45.

Au total un palmarès impressionnant : 12 chars allemands détruits, mais deux fois il est sorti seul rescapé de son char en flammes, courant "en zigzag" pour échapper aux balles comme il avait appris à l'Ecole ! "Rouss kaput" ! il l'entend encore ... Le bruit , les odeurs à l'intérieur du char :"on n' entend rien des combats à l'extérieur, et c'est mieux comme ça !

Coline remet quelques souvenirs de Normandie. 

 Mais après tant d'années, ce sont surtout "les petits bonheurs" qu'il nous a racontés avec le plus de détails. Eugène, le petit ukrainien orphelin récupéré dans son village brûlé : lorsqu'ils découvrent qui'l a une voix exceptionnelle, ils font tout pour le faire envoyer à l"arrière. Les jeunes filles russes qu'ils découvrent ligotées dans des wagons abandonnés : elles devaient partir en Allemagne.
Récemment il a fait un déplacement officiel en Allemagne. Il nous a fait part de son angoisse :" où je vais ? comment parler avec eux ?" et de ses espoirs en entendant les jeunes allemands l'applaudir ." Jeunes de Biélorussie, de Russie, de France, vous êtes semblables à ces jeunes allemands, vous êtes nos garants de la paix".

Vous nous avez impressionnés Monsieur FEGNE !

La grande place de la Victoire ,
lieu de toutes les commémorations officielles 

La grande guerre patriotique est très "présente" dans la ville :
Le socle de la colonne de la Victoire honore sur ses 4 faces, les soldats, les partisans et le peuple.

Au pied : la flamme" éternelle" !

Le groupe a aussi été reçu à l'Ambassade de France par Mme Lise Talbot- Barre, 1ère secrétaire .
Pendant une heure, un sérieux cours de géopolitique !

A l'Ambassade avec les enseignants du Gymnasium 34
sous le regard abattu de notre compatriote Napoléon.
 Eh oui, la Bérézina, c'est près de Minsk !

Le courage de ces hommes

Ce lundi 27 janvier 2014, onze vétérans sont venus avec leur famille au sein de l'Ambassade de France à Washington afin de se voir remettre la médaille de la légion d'honneur, pour leurs services rendus pendant la Seconde Guerre mondiale.

Carlton BAZZELL, Austin COX, Charles ECKER, Russell DECKER, Frank EHLY, Sebastian GIONFRIDDO, Frederick GRISWOLD, Ramond GRITTON, Thomas HASBROUCK, Walter HELINE et Everett SUMNER. Le lycée français Rochambeau de Washington, le lycée français Sivard de Beaulieu de Carentan et les représentants de la Région Basse-Normandie étaient présents afin de témoigner leur gratitude à ces anciens combattants. 

Estelle, élève du lycée de Carentan a rappelé face à l'assistance « le courage, la bravoure, la persévérance et les sacrifices » qu'ont su faire ces hommes. « Au nom de tous les lycéens de Carentan et de tous les adolescents français, je tenais sincèrement à vous remercier et à vous dire que nous n'oublierons jamais les sacrifices que vous avez fait pour nous ». Pour sa part, Nicolas, représentant du lycée de Rochambeau, a témoigné sa reconnaissance envers ces anciens soldats qui lui ont « appris à faire honneur aux valeurs de la démocratie et de la fraternité. » Le Consul de France a rappelé que « la légion d'honneur est la plus haute décoration française ».

« Au nom du Président de la République Française, je vous remets les insignes de Chevalier de la Légion d'Honneur »

Laurent Beauvais, président de la Région Basse-Normandie, a ensuite remis aux 11 vétérans une médaille d'honneur de la Région Basse-Normandie et les a invités à venir célébrer les commémorations du 6 juin 2014 sur les plages du Débarquement. Pour conclure, il s'est adressé aux jeunes bas-normands : « Et je me tourne alors vers vous, qu'auriez vous fait il y a 70 ans si un pays lié au votre, qui partage vos valeurs, avait été en proie à la barbarie, l'oppression et le déni des valeurs humaines ? Auriez-vous partagé le courage de ces hommes ? ».

A l'issue de la cérémonie, les lycéens de Carentan ont échangé avec quatre des onze vétérans américains dans l'auditorium de l'ambassade. 

Nous ne sommes pas des héros

Seize lycéens de Carentan, accompagnés d'une délégation d'élus bas-normands, ont rencontré quatre vétérans américains à Washington. Il s'agit des derniers témoignages du projet "70 voix de la liberté".

A deux pas du mémorial d’Abraham Lincoln, de Thomas Jefferson, de Martin Luther King. Sous une fine couche de neige à Washington, nous entrons dans un hôtel du quartier de Georgetown, quittons le froid, écoutons les souvenirs d’hommes âgés racontés à de jeunes bas-normands venus du lycée Sivard de Beaulieu de Carentan.

Ils posent des questions à William C. Notley, Henri Morgan et James A. Huston, tous trois membres de la 35e division d'infanterie qui débarqua sur nos plages le 6 Juillet 1944.

Trois hommes, trois récits, trois visions

Cette matinée du 24 Janvier 2014 est pleine de valeurs, de partage, de force et d'émotions. L’horreur : « J'ai vu le diable dans les yeux de cet arien, dans la haine qu'il avait en regardant ce juif ». La peur : « Elle est toujours présente, quand on traverse un fleuve, une route ». Mais aussi de belles images : « Mon plus beau souvenir de la Normandie, ce sont les pommiers en fleurs et ses près paisibles ». De la beauté malgré l’horreur.


L'après-midi : les lycéens rencontrent Herbert W. Levy (débarque à Utah Beach le 10 Juin 1944) qui a signé en fin de matinée, tout comme ses frères d'armes, la demande d'inscription des grands sites du Débarquement au patrimoine mondial de l'UNESCO.

Herbert W. Levy est un vétéran qui a de l'humour : "j'ai écrit 4 lettres pour protéger mes proches, j'avais demandé à un ami de les envoyer pour qu'ils ne sachent pas que je débarquais en France. J'avais d'ailleurs trois petites amies". Et beaucoup d'humilité : "Je ne me considère pas comme un héros, j'ai fait ce que l'on me disait de faire et je pense l'avoir bien fait" et porteur de belle valeur : "j'ai retrouvé la vie avec la victoire".

Le message est transmis :  « le secret du bonheur c’est la liberté, le secret de la liberté c’est le courage » (James A. Huston).
Soixante-dix ans après, la mémoire est vive ! Le 6 juin prochain, les Bas-Normands comptent sur eux. La délégation régionale leur a remis une invitation pour les commémorations du 70e anniversaire du D-Day.

William C. NOTLEY dit Bill:
« L'expérience la plus terrifiante de ma vie a été l'impression de voir le diable en personne : voir la haine dans le regard de cet homme parce que j'étais juif. »

Henry MORGAN :
« Ne soyez pas militaristes mais soyez toujours prêts à défendre la liberté. »

James A. HUSTON:
« Les autres soldats étaient mes camarades, on ne se sentait jamais seul, c'était bon pour le moral, nous nous aidions mutuellement. »

Jérémy, Quentin, Thomas et Edouard font partie des seize lycéens manchois à avoir posé des questions aux vétérans américains. Ils livrent leur impression.
Jérémy : « Ce fut un échange vraiment enrichissant. On est fier de pouvoir ensuite en rencontrer d'autres en Normandie autour du 6 juin dans le cadre de cérémonies officielles avec notre lycée. »
Quentin : « Je suis fier de faire partie la dernière génération à entendre directement leur témoignage sur la guerre. À nous de transmettre le message, en complément des programmes d'histoire qui ne comportent pas cette dimension humaine. »
Thomas : « C'est important pour nous car nous sommes natifs des plages du débarquement et nos familles ont vécu cette guerre ».
Édouard : « C'était très intéressant. Quatre personnalités, quatre visions différentes. Se tenir devant eux, lire l'émotion sur leur visage, c'est une expérience marquante. »

Le lycée Mermoz de Vire rencontre Edouard Podyma

Le 6 décembre 2013, Edouard Podyma, vétéran polonais, raconte son parcours exceptionnel aux élèves du lycée Mermoz de Vire. Évacué vers l'Angleterre en 1940, il débarque en Normandie le 27 juillet 1944 à Arromanches. Il se distingue particulièrement pendant la bataille du Montormel où il s'est retrouvé en première ligne dans l'ultime phase de la Bataille de Normandie.

Le lycée des Andaines de la Ferté-Macé rencontre Gabriel Brillant

Le mardi 17 décembre 2013, nous avons reçu M. Brillant, ancien combattant de la Seconde Guerre Mondiale, dans le cadre des 70 Voix de la Liberté. Toutes les classes du lycée professionnel étaient présentes, accompagnées de leur professeur. M. Brillant nous a raconté comment était la vie sous l'occupation allemande et les actions qu'il a menées au sein du 4ème bataillon de la 2ème compagnie de  marche Normandie. Après ce témoignage, M. Brillant nous a montré ce qu'est le courage et prouvé qu'avec de la volonté tout était possible.

Les élèves de 2 MA/CB

Le lycée Louis Liard de Falaise rencontre des vétérans

Le jeudi 12 décembre, dans le cadre du projet D Day du lycée Louis Liard et des 70 voix de la liberté, un vétéran britannique, M David Mylchreest, un vétéran polonais, M Podyma, un vétéran français, M Lecouvey , Mme Lenfant, enfant civile originaire de Vimoutiers et M Kourotchine, président de l’association des anciens combattants de Rugles, ont échangé leurs souvenirs avec les élèves de 1ères et Terminales européenne. Moment d’attention et de grande émotion non sans une pointe d’humour lorsque M Kourotchine offre des mascottes aux élèves : son plat du dimanche dès les années 40, des cochons d’Inde mais bien vivants !

Mme Lenfant, M Lecouvey, M Mylchreest, M Kourotchine

M Mylchreest

M Lecouvey

M  Podyma

M Kourotchine

Le lycée Saint François de Sales d'Alençon rencontre Lucien Meyer

Le 14 novembre 2013,  Lucien Meyer, engagé malgré lui dans l'armée allemande, raconte son histoire et celle des Alsaciens pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce témoignage, fort en émotion, a beaucoup touché les élèves du lycée Saint François de Sales d'Alençon.

En savoir + sur le couloir de la mort

le lycée Alain d'Alençon rencontre Gerhard Richter

Le 08 novembre 2013, à Berlin, le lycée Alain d'Alençon, en partenariat avec le Kant Gymnasium de Spandau, a rencontré Gerhard Richter, vétéran allemand de la seconde guerre mondiale. Ce grand monsieur, de 98 ans, a pu raconter son histoire et transmettre aux élèves sa joie de vivre et son éternel optimisme face à l'Histoire.

Le lycée Mezen d'Alençon rencontre Albert Figg

Le 5 novembre 2013, des élèves du lycée Mezen d'Alençon rencontrent le sergent Albert Figg (93 ans) vétéran de la Seconde Guerre mondiale.

Voir l'article et la vidéo de France 3
Voir l'article et la vidéo de Ouest-France

Le CFAI du Calvados et de la Manche rencontre Gordon Newton

Le 16 octobre 2013, des élèves du centre de formation d'apprentis de l'industrie du Calvados et de la Manche (CFAI) rencontrent à Londres Gordon NEWTON, vétéran allié : parachutiste britannique qui a sauté d’un planeur Horsa, à l’aube du 6 juin 1944 sur Merville-Franceville.

Message de Gordon Newton après la rencontre:
"Un très sincère «merci» pour mon merveilleux cadeau. Je vais garder cette bouteille de Calvados  pour une occasion spéciale et je n'ai pas l'intention de la partager. J'ai bien aimé vous rencontrer tous et les questions des élèves ont été bien pensées. Ma fille Jill a été très impressionnée. Elle ne connaissait pas mon histoire pendant la guerre et veut maintenant s'impliquer. Nous espérons que la pluie n'a pas gâché le reste de votre après-midi. Nous avons hâte de vous rencontrer en Normandie en 2014.